Anatt : Le Dg Agbéva s'entoure t-il de jeunes irrévérencieux et suppôts de bacchus ?

Les usagers ont dû se poser cette question. Ceux qui sollicitent les services de l'Anatt via son démembrement sis derrière  L'immigration de police. Un service  spécialisé dans  l'immatriculation des engins à deux roues.

L'un est chef service et l'autre son adjoint. D'abord, nos constats révèlent que  l'ambiance de travail entre le titulaire du poste qui a nom L.A. et son adjoint A.M. est viciée. Les deux se regardant la plupart du temps en chien de faïence. 

Ensuite, il pèse sur eux, selon les  échos qui nous parviennent ces jours-ci, des soupçons de dessous de table. Dans la pratique, les candidats à l'immatriculation tant spéciale qu'ordinaire n'ont de cesse de se plaindre de leurs agissements. Des faits qui, le cas échéant, ternissent  l'image de marque de l'Anatt. La situation est préoccupante si préoccupante que les usagers n'hésitent pas à manifester leur déception. En effet, la dimension irrévérencieuse des actes que ces deux tristement célèbres sont présumés coupables réside dans le piètre  accueil réservé aux clients usagers. Tant elle tire sa source dans le fait que le second aurait pour coutume de verser en permanence dans un état d'ébriété total au point d'avoir la gueule de bois. Parfois abandonnant le travail pour aller se réfugier dans un débit de boisson sis à quelques encablures du service pour faire sa bombance d'alcool. Après, c'est pour revenir au bureau  s'endormir tel un subrécargue.  Malheur donc à l'usager qui pointe son nez dans une pareille atmosphère. Il recevra à la figure non seulement les miasmes de l'alcool mais également les postions émanant de cette substance blanchâtre occasionnée par la prise exagérée de l'alcool. A t-on besoin de parler des collaborateurs.  Gare à ce collabo qui tentera de frapper à la porte de son bureau pour un compte rendu de mission. Il verrait son patron peu lucide pour l'accueillir et lui prêter une oreille attentive. Quel barnum ! Le corolaire le plus immédiat de cette situation est que les usagers subiraient régulièrement le martyr pour rentrer en possession de leurs plaques   souvent stockées à dessein dans le bureau du chef service adjoint.   Un bureau qu'il squaterait parce que n'étant pas destiné à lui, renseigne t-on sous anonymat.  Comment imaginer qu'un agent  administratif assermenté veuille se permettre d'agonir des usagers d'invectives au point parfois d'en arriver au pugilat. C'est extrêmement scandaleux. Cela émet la problématique de moeurs de cet agent. Tout porte à croire qu'il n'est pas conscient de sa mission. 
Comment peut-on positionner un agent "ivrogne " à un poste aussi important que celui de chef service fut-il adjoint. On apprend même qu'il aurait pour habitude de faire feu de tout bois tout en se prévalant de sa capacité à fournir plus de rendement que tous les autres agents de l'Anatt assignés de la même mission. Et que considérant cette donne, le Dg Agbéva ne saurait se départir de ses services, si non qu'il échouerait. Se prenant donc pour un super agent de l'Anatt, rapporte t-on. D'où son illusion d'avoir le droit de se permettre certaines privautés. Face à. cette outrecuidance, la réaction du Dg Agbéva s'impose d'emblée. Se cadenasser dans l'omerta pour ne pas nettoyer l'écurie serait synonyme d'une caution de  Thomas Agbéva à ces agents indélicats et surtout le second qui s'appelle A.M. Le plus tôt serait le mieux pour ne pas avoir à payer la folle enchère d'une situation  dont il n'est pas à l'origine. (A suivre)